Smael s’est fait connaître en 1998 à Rio de Janeiro ou il est devenu le « porte-parole » des graffeurs (« graffiti carioca ») et l’interlocuteur des pouvoirs publics avec qui il a entamé une véritable concertation « Pour moi et d’autres, un graffeur ne doit jamais agresser le patrimoine architectural. Voyant qu’on s’y tenait, les autorités se sont adoucies et nous ont autorisé le béton style pont routier ». Résultat: en 2008, le gouvernement brésilien a dépénalisé le graf urbain ! Depuis, Smael a exposé un peu partout au Brésil mais aussi aux Pays-Bas, en Belgique et aux USA (en 2009, il a participé à l’Art Basel de Miami, l’une des plus importantes foire au monde en matière d’art contemporain et de design.